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Besoin de plus d’école #PCF

Fabien Roussel fait de la jeunesse et de l’éducation un des axes de la campagne présidentielle. La rencontre de Vénissieux, consacrée à l’éducation, ce vendredi 3 décembre était la dernière d’une série de 6 rencontres dans toute la France.

La salle remplie, les nombreuses questions témoignent de l’enjeu que représente l’école dans un contexte qui a aggravé les inégalités de réussite scolaire.

La proposition du candidat communiste d’allongement du temps scolaire, parce qu’elle tranche avec près de 15 ans de réduction du temps de classe pour les élèves, suscite le débat. Michelle Piccard, maire de Vénissieux, rappelle en préambule l’urgence de répondre aux besoins des catégories populaires, le besoin d’école, et que l’État joue son rôle en la matière pour permettre aux communes de répondre aux besoins en matière d’équipements scolaires et de loisirs éducatifs. En supprimant 13 milliards de dotation aux communes, l’État prive les collectivités de moyens de développer des politiques ambitieuses pour le loisir éducatif.

Claire Pontais, professeur d’EPS, syndicaliste et formatrice, interroge : Comment donner à des enfants de catégories populaires ce qu’un enfant, qui a par sa famille les ressources nécessaires, trouve normal : l’accès aux savoirs, l’accès à la culture, au sport, et aux loisirs.
La proposition d’allongement du temps scolaire, 27 h en primaire, 32 h, voire plus au collège et au lycée, est alors développée par Fabien Roussel. Puis Paul Devin, président de l’Institut de recherche FSU, témoigne du besoin de plus d’école pour élever le niveau de connaissance d’une classe d’âge, combattre les inégalités, et transformer l’école pour qu’elle soit réellement émancipatrice. Pour cela il faudra créer des postes en nombre (90 000) et des équipements scolaires de qualité.

Il ne s’agit pas seulement d’allonger le temps scolaire, mais d’améliorer les conditions d’accueil et d’étude des élèves et transformer l’école, donner du temps aux enseignants pour exercer leur métier.

Le témoignage d’un directeur d’école et celui d’une enseignante du second degré révèlent les difficultés que rencontre aujourd’hui le monde enseignant. Difficultés à faire leur métier dans un contexte dégradé, avec de moins en moins de moyens et des réformes menées par le gouvernement qui vont à l’encontre de ce qu’il faudrait faire ; La réforme du Bac, Parcoursup ont accéléré l’individualisation des parcours scolaires, mettant établissements et élèves en concurrence, tout en livrant au marché une partie des enseignements.

Ce sont bien entendu les jeunes qui réussissent le moins et ceux de catégories populaires, ceux qui n’ont que l’école pour apprendre, qui sont les premières victimes de la mise en place de cette sélection.

Alors que l’école inclusive est au cœur du discours gouvernemental, les AESH, ces assistants d’éducation qui accompagnent les élèves en situation de handicap, exercent une mission essentielle. Une formation, des salaires dignes de ce nom, et un statut au sein de l’Éducation nationale est indispensable comme le propose Fabien Roussel.

Tout comme le nécessaire réengagement de l’État auprès des collectivités pour construire des écoles, des collèges et des lycées, comme Cécile Cukierman, sénatrice de la Loire, l’évoque, en même temps qu’elle dénonce la précarisation de l’ensemble des personnels de l’éducation.
Enfin, Séverine Brelot, professeur en lycée professionnel et syndicaliste, parle de ceux dont on ne parle jamais, alors qu’ils représentent 43 % des lycéens, les jeunes de lycées professionnels. Ce sont les futurs premiers de corvée. On leur a volé une année d’études sous Sarkozy en supprimant le BEP et en imposant le bac pro en 3 ans. Autant de temps d’école en moins pour apprendre un métier, saisir les enjeux auxquels doit répondre le monde du travail.

Construire une école émancipatrice qui combatte les inégalités et élève le niveau de connaissance de toute la jeunesse est un enjeu de société, un enjeu démocratique, et cela coûte de l’argent. Le budget de l’Éducation sera augmenté de 45 %, précise Fabien Roussel en engageant un recrutement massif d’enseignants, pré-recrutés au niveau du bac et en licence et recevant une formation à bac +5 de qualité, permettant d’être formés sur les contenus d’enseignement, leur métier, mais aussi sur les enjeux de l’école aujourd’hui en lien avec les courants pédagogiques, la recherche et ses avancées.

Sébastien Laborde
secrétaire départemental
membre du CEN

Journée mondiale / Handicap : La question du handicap est une question de droits humains #PCF

1,2 milliards d’individus sont en situation de handicap, soit 15% de la population mondiale. Parmi eux, une immense majorité vit dans la pauvreté et n’a pas accès à ses droits fondamentaux : se déplacer, apprendre, travailler, se soigner, se cultiver, choisir son lieu de vie, fonder une famille. Pour beaucoup, il s’agit survivre et non de vivre.

Car la question du handicap, ici comme ailleurs, est une question de droits humains. L’ONU l’a d’ailleurs rappelé à la France en septembre 2021, à l’occasion d’une audition du comité des droits des personnes handicapées : notre pays a signé et ratifié une convention internationale des droits des personnes handicapées en 2010 mais ne la respecte pas et bafoue les droits de plus de 5 millions de nos concitoyens.

En effet, la loi de 2005, déjà insuffisante, a été détricotée par un gouvernement qui considère que la solidarité familiale doit primer sur la solidarité nationale. Rappelons que, pas plus tard que jeudi 2 décembre, la majorité a refusé envers et contre tous la déconjugalisation de l’AAH.

C’est inacceptable ! Donnons leur pleine citoyenneté aux personnes handicapées : conditionnalité des aides publiques à l’accessibilité des lieux et services, accompagnement à domicile financé et sans reste à charge pour une vie dans la cité selon les besoins de chacun.e, revenu d’existence pour les personnes ne pouvant travailler, plan d’urgence pour faire des MDPH un véritable service public du handicap…

Nous voulons combattre enfin les discriminations validistes auxquelles sont confrontées les personnes handicapées, notamment sur leur lieu de travail, combattre aussi les vexations et humiliations quotidiennes face à un environnement social inaccessible et à de multiples parcours d’obstacles administratifs tout au long de leur vie.

Le projet porté par la candidature de Fabien Roussel est un projet émancipateur et de lutte contre toutes les oppressions, dans un esprit de solidarité.

Les valeurs de solidarité et de partage animeront les bénévoles du 35ème Téléthon et dont nous saluons l’engagement sur le terrain.

Parti Communiste Français

Journée nationale de la #Résistance et de la création du CNR, Discours de Fabien Roussel Secrétaire national #PCF

Journée nationale de la Résistance 27 mai 2020

C’est ici, depuis la Place du Colonel Fabien, siège du PCF, que j’ai choisi de célébrer cette journée nationale de la Résistance.

Dans ce lieu de lumière, bâti par Oscar Niemeyer il y a 40 ans tout juste, au cœur d’une place portant le nom d’un grand Résistant, Colonel Fabien, Pierre Georges de son vrai nom, ouvrier métallurgiste et militant communiste qui fut l’auteur du premier acte de résistance armée contre un militaire allemand en août 41 puis participa, avec le Colonel Rol-Tanguy et des milliers de Résistantes et de Résistants à la Libération de Paris.

Ce 27 mai, journée nationale de la Résistance, nous célébrons surtout la création du Conseil National de la Résistance.

C’était le 27 mai 1943, en pleine guerre : huit mouvements, six partis politiques et deux centrales syndicales, s’unissaient pour coordonner la lutte contre l’ennemi et préparer l’avenir en écrivant le programme des Jours Heureux.

Nous rendons hommage, ainsi, à toutes celles et ceux qui ont combattu et souvent perdu la vie durant cette guerre, la plus meurtrière du 20ème siècle : entre 50 et 70 millions de personnes sont mortes, soit plus de 2% de la population mondiale.

Le paroxysme de la barbarie est atteint quand tuer l’ennemi ne suffit plus. Il faut l’exterminer, le rayer de la carte, au nom d’une insupportable théorie de la race et de la préférence nationale. Dans les camps de la mort du régime nazi, l’horreur se répand sans limites, au service d’une obsession démente : l’anéantissement des juifs d’Europe.
La haine de l’autre, le refus de la différence nourrissent une bête immonde jamais rassasiée. Parce qu’ils sont juifs, tziganes, communistes, gaullistes, syndicalistes, socialistes, résistants, homosexuels ou handicapés, des hommes, des femmes, des enfants font figure de parasites à éliminer.

C’est face à cette idéologie délirante qu’une France résistante va se lever.
Une France courageuse et déterminée, qui dit « non » à l’envahisseur et « oui » à la Liberté.

Le 18 juin 1940, alors qu’une partie de notre pays est occupée par les Allemands, le Général de Gaulle lance depuis Londres son appel à la Résistance.

La veille, en France, à Draguignan, Charles Tillon, dirigeant du PCF, lançait lui aussi l’appel au « peuple des usines, des champs, des magasins, des bureaux, aux commerçants, artisans, intellectuels, aux soldats, aux marins, aux aviateurs encore sous les armes à s’unir dans l’action ».
Cette armée de l’ombre grandit, composée d’ouvriers, de mineurs, de fonctionnaires, d’enseignants, d’étudiants.

Ils sont gaullistes, militaires et hommes blessés de voir la nation abaissée, vendue aux ambitions d’idéologues lointains.

Ils sont hommes de foi, chrétiens, musulmans, juifs qui ne pouvaient supporter le traitement infligé à des êtres humains.

Ils sont communistes, antifascistes résolus qui avaient refusé le putsch de Franco ou la capitulation de Munich, déterminés à défendre la classe ouvrière et le bonheur commun.

Parmi eux, il y avait aussi des combattants d’origine étrangère, recrutés au sein des FTP MOI comme le poète arménien Missak Manouchian, prêts à sacrifier leur vie pour leur pays d’accueil, au nom d’un idéal partagé, celui de la liberté et de la République. Avec ses camarades, ils seront fusillés le 21 février 1944.

Ils sont l’orgueil de notre peuple qui ne plie pas devant l’abominable.

En ce 27 mai 2020, nous pensons à eux tous, d’où qu’ils viennent. La force de la nation, la liberté de la France de bâtir ses propres choix, l’indépendance nationale, s’est forgée dans ces combats.
Nous voulons aussi rappeler l’ambition portée par les membres du Conseil national de la Résistance : imaginer la France dans laquelle ils rêvaient de vivre, dans l’affirmation d’une République généreuse et solidaire, avec un programme ambitieux intitulé « Les jours Heureux ».

Deux ans après la première réunion du CNR, alors que le pays est encore en ruines, le défi est relevé.

Un gouvernement auquel participent des ministres gaullistes, communistes, de la SFIO, fait le choix de mettre en œuvre des avancées majeures, dans le sillage de celles menées, quelques années plus tôt, par le Front populaire :
– les femmes votent pour la première fois le 29 août 1945 ;
– la Sécurité sociale est inventée et mise en place, tout comme notre système de retraite par répartition ;
– le gouvernement nationalise les Houillères, Renault, les banques de dépôt et la Banque de France, l’électricité et le rail;
– le droit à l’éducation et à la culture pour tous est instauré.

Un tel programme, mis en place au sortir d’une déflagration aussi traumatisante, fait écho à notre propre défi, à l’heure où notre pays, mis brutalement à l’arrêt par la pandémie, affronte une crise d’une ampleur inédite.

Quel chemin choisir, quand cette pandémie pointe en même temps les faillites d’un système économique qui épuise les êtres humains comme nos ressources naturelles ?

Cette journée de la Résistance porte en elle un message tellement fort cette année.

Parce que des millions de salariés, d’hommes et de femmes continuent de risquer leur vie face à ce virus microscopique, choisissant de servir le pays, soigner, nourrir, transporter, enseigner malgré tous les risques.

Je tiens à saluer le courage et la détermination du monde du travail, de toutes celles et tous ceux qui font aujourd’hui encore, la force de la nation, la fierté de notre pays.
Et c’est un défi d’aussi grande importance que notre pays doit relever aujourd’hui, celui de permettre à chacune et à chacun de vivre dignement, de se sentir protégé, de croire dans l’avenir, pour lui comme pour ses enfants.

C’est pourquoi nous appelons à ne pas céder aux sirènes qui préparent déjà aux souffrances que notre peuple devrait endurer à cause de cette pandémie, comme si nous n’avions pas les moyens, les ressources, les richesses et l’énergie de promettre, à notre tour, des Jours Heureux.

Aujourd’hui comme hier, nous devons tenir bon, être ambitieux pour notre pays, refuser de croire que le chômage et la pauvreté devraient augmenter inexorablement alors que tant tant de besoins, tant de chantiers, tant d’emplois doivent être créés, pour nos services publics, pour notre système de santé, pour notre industrie, pour protéger la biodiversité et le climat.

Nous avons tant de richesses à mettre au service du développement humain et de la planète.

La nation française est forte de son histoire, de celle de 1789 qui abolit la monarchie à celle de 1943 qui restaure la République.

Inscrivons 2020 dans ce calendrier historique qui a bâti notre identité aux yeux du monde, car à chaque fois, à chacun de ces rendez vous, c’est le peuple de France qui a fait le choix de s’unir, de reprendre en main sa souveraineté, son économie, sa liberté.

Oui, le choix que nous appelons de nos vœux, ce n’est pas celui de la sueur et des larmes. C’est au contraire celui d’une France unie et déterminée à éradiquer la pauvreté, le chômage, à relever le défi du climat.

Qui peut dire que nous n’en n’avons pas les moyens et la force ?

Car les moyens et la force de relever ces défis, de garantir le droit au bonheur et une vie digne, c’est vous, c’est chacune et chacun d’entre vous, et toutes ces richesses que nous avons aujourd’hui.

Choisissons de les mettre au service d’une société nouvelle.

Alors oui, il est temps de nous unir, de nous rassembler, dans notre plus grande diversité, d’en appeler à toutes les force progressistes, celles du monde du travail et du mouvement social.

Le Parti Communiste Français, qui fête ses 100 ans cette année, souhaite partager toujours avec vous cet idéal de paix, de solidarité et de bonheur qui ne l’a jamais quitté dans son histoire. Hier comme aujourd’hui, nous serons toujours présents pour bâtir, avec d’autres, dans l’union la plus large des Françaises et des Français, une société qui place l’être humain et la planète au cœur de tous ses choix.

Covid_19 : les propositions du #PCF

La pandémie de coronavirus place notre pays et l’ensemble de l’humanité face à d’immenses défis. A commencer par celui de sauver les vies menacées, de protéger toute la population. Elle révèle aussi une crise de civilisation profonde et les méfaits désastreux de décennies de libéralisme qui ont fragilisé nos services publics et notre industrie, et par conséquence notre capacité d’action face à la crise sanitaire.

La lutte contre le COVID-19 appelle à une mobilisation exceptionnelle immédiate. Elle exige aussi de transformer notre mode de développement, l’utilisation de l’argent et de créer de nouveaux pouvoirs d’intervention pour les travailleurs, afin d’éviter que cette situation ne se répète et de répondre aux immenses défis à relever.

C’est tout le sens des propositions que le Parti Communiste Français met en débat aujourd’hui.

Retrouvez l’ensemble des propositions du PCF ici : Covid_19 les propositions du PCF

Agenda du 8 au 24 février 2019

Chaque 2 lundis à partir du 11 sept, rencontres Annemasse au Doxaty (4 rue de la Faucille, près de la gare, dir. Émile Zola). Infos sur son site ou Facebook. Ces rendez-vous remplacent les soirées du Repaire de Cervens qui ne vont pas reprendre.

Le mardi Rencontres sur terrain des Incroyables Comestibles. Pique-nique sur le quai de Chavoire

Le mercredi 14h-17h, l’Elef ouvre ses portes Maison des associations Chambéry ; 17h30-19h local des Amis de la Terre – Maison des Associations – Cran-Gevrier Permanence pour résister aux compteurs Linky qui débarquent sur le département ; 18h30-20h30 Thonon restaurant le ‘Nuancé’ (39 Avenue de la Dame, sortie contournement) : Alternati-Bar du Chablais : Apéro des actions écologiques et citoyennes locales, pour se rencontrer, d’échanger et créer ensemble…

Le jeudi Réunion collectif Roms

de 15h à 19h Marché BIO … logique Place du Palais de Justice Chambéry

Les Vendredis de la Transition à Genève font une pause faute de lieu disponible

Calendriers de la Vélobricolade en Savoie http://bulletintransition73.fr/events/event/velobricolade-chambery/

Horaires du magasin coopératif Alpar https://www.alpar.fr/ 7, rue du Vieux Moulin Meythet :

Mercredi 9h-20h30

Vendredi 9h-12h / 18h-20h30

Samedi 10h-15h30

Vendredi 8 février 18h la PCF Moûtiers ouvre les cahiers de la colère et de l’espoir au travers de sa traditionnelle remise des cartes salle des Fêtes de petit Coeur

20h soirée-débat autour du film “RBG” cinéma Rabelais Meythet

Samedi 9 février Repair Café 74

La Transition citoyenne du bassin annécien a 5 ans ! centre Bonlieu Annecy

Lundi 11 février 20h Réunion publique d’infos sur les compteurs Linky Cinéma Victoria (Aix-les-bains)

En partenariat avec le collectif NONLINKY73 et Non Linky Aix Les Bains

Réunion Chaîne Humaine contre les haines

Réunion Gauche En Manif en Marche 7e République

Mardi 12 février 12h Ecologie, Maintenant il faut se battre Bâtiment EVE (Espace Vie Etudiante) – Technolac (Le Bourget du lac)

DES TEXTES ÉCOLOGISTES POUR PASSER A L’ACTION ! Des textes d’écologistes parmi les plus inspirants, lus avec enthousiasme. Un moment…

Réunion RESF

20h Demain Genève Espace Cinéma rue du stade Douvaine.

Suite au succès de la projection du 4 Octobre 2018 au France à Thonon où nous avons été obligés de refuser une cinquantaine de personnes, nous re-programmons enfin ce film « local », qui fait du bien ! Un débat suivra avec Yves Corminboeuf, membre du Comité de Demain Genève, co-fondateur de Materiuum et professeur à la HEAD (Haute École d’Art et de Design).

À la suite sera présenté le projet de film documentaire « Juste à côté » fondé sur la valorisation d’initiatives citoyennes et écologiques dans le territoire chablaisien. Florian Geyer, cinéaste documentaire, Benoit Frech, ingénieur du son, Fabien Meyrier, cadreur et monteur et Jérôme Vittoz, compositeur et musicien et d’autres sont engagés dans cette démarche depuis plusieurs mois et pourront vous en présenter quelques extraits.

Demain Genève : Un groupe de jeunes, fascinés par ce qu’ils ont appris dans le film DEMAIN de Mélanie Laurent et Cyril Dion, se demandent si de telles solutions existent près de chez eux. Ils vont à la rencontre d’experts et de porteurs de projets durables et en tirent une vision positive de l’avenir, un aperçu de ce à quoi pourrait ressembler notre région du Grand Genève demain.

Réunion ATTAC Maison des associations Cran-Gevrier

Mecredi 13 février 20h Ciné_débat autour d’un documentaire Les invisibles cinéma le Parnal Thorens

Les intervenants: 3 travailleurs sociaux de « la traverse » , centre d’accueil pour sans abris ont accepté de temoigner et d’échanger sur leur travail:

Réalisation : De Louis-Julien Petit, Claire Lajeunie et Marion Doussot

France – Comédie – 1h42

Audrey Lamy, Corinne Masiero, Noémie Lvovsky, Deborah Lukumuena

source Coté Cinéma

Contre l’avis du maire, des assistantes sociales hébergent des femmes SDF. Une comédie sociale savoureuse où ces invisibles tiennent leur propre rôle, elles se nomment Lady Di , Brigitte Macron, Béyoncé, enfin pas les vraies! Mais, des sans-abri qui se choisissent des pseudonymes, lorsqu’elles viennent trouver un peu de répit dans un centre d’accueil de jour dans un centre dans le nord.

Louis-Julien Petit orchestre l’acte d’une désobéissance civile jubilatoire. Il réussit à transposer une saisissante matière documentaire des SDF en une pétillante comédie sociale où tout sonne juste.

Jeudi 14 février « Ensemble, agir pour demain », Forum des acteurs de la solidarité internationale Centre de congrès Le Manège (Chambéry)

20h30 Cycle « Dessine-moi une ville ». Première Conférence’UP : Rues et places d’Italie ou l’art de bâtir la ville Collège Samivel de Bonneville

Qu’est-ce qu’une rue ou une place idéale ?

Comment imaginer l’histoire des rues et des places sans faire référence aux villes italiennes ? Nous partirons des notions urbanistiques de Giorgio Vasari, à la fois peintre, architecte et géomètre, qui nous rappelle que bâtir une rue ou une place, c’est faire appel à l’art autant qu’à la science.

Puis nous convoquerons des auteurs tels Italo Calvino, Kevin Lynch et Camilo Sitte qui ont imaginé rues et places entremêlées au rêve et faisant sentir leur présence au-delà du visible.

Nous visiterons ainsi Arezzo, Sienne, Florence, Crémone, Vigevano… en faisant alterner photographies, commentaires urbanistiques et évocations littéraires.

Avec Bertrand Lévy, Docteur ès sciences économiques et sociales, mention géographie

Jeudi 14 et vendredi 15 février Congrès Union Locale CGT Annecy

Vendredi 15 février Initiative nationale du PCF devant les locaux du MEDEF ou les chambre de Commerce et d’Industrie

18h Atelier de la réparation La Forge des Halles (Chambéry)

Assemblée Générale Alpar

Réunion Les habitants

20h Réunion d’information sur les compteurs communicants Salle Martinet 21 avenue des Iles Annecy

20h30 L’AMI (Association de défense des Malades Invalides et des handicapés) organise un repas solidaire salle Brillat-Savarin Chambéry Le Haut. Apéritif, tartiflette, dessert, café, animations : 15€ tout compris. Renseignements : amisavoie@gmail.com

Réunion ATTAC Maison des associations Chambéry

Samedi 16 février Repair Café 74

31ème bourse aux vélos de Bissy Gymnase de Bissy (Chambéry)

Réunion Alpar

20h30 Projection « J’veux du soleil ! » cinéma le Rabelais Meythet

Dimanche 17 février 18h Projection « J’veux du soleil ! » cinébus Taninges

19h Projection « J’veux du soleil ! » cinéma l’Astrée Chambéry

Lundi 18 février 18h30 rendez-vous liste citoyenne avec démocratie ouverte

Réunion Chaîne Humaine contre les haines

Réunion Gauche En Manif en Marche 7e République

Mecredi 20 février Réunion Alpar

Jeudi 21 février Atelier réparation-bricolage L’embarcadère St-Alban-Leysse

Réunion mensuelle Les Amis de la Terre en Savoie K Fé T Aix-les-Bains

Vendredi 22 février Réunion PCF

Samedi 23 février Repair Café 74

Carnet de notes des candidatures à la présidentielle 6 : pour les retraité.e.s

La retraite mobilise moyennement : 3 questions ont dû être neutralisées. Heureusement, des candidats ont fait 2 propositions complémentaires.

On notera que ce sont les 2 candidatures du monde du travail qui défendent le plus la retraite.

Le minimum retraite au SMIC est proposé par Arthaud, Mélenchon et Cheminade, 5 candidats proposent des augmentations plus limitées.

Pour la retraite à taux plein à 60 ans maxi, on ne peut voter que pour Arthaud, Mélenchon et Poutou, Fillon veut l’abroger définitivement, Hamon, Macron Dupont et Cheminade partiellement. Le Pen parle de la retraite à 60 ans mais elle précise que ce serait en fin de mandat et que « si on applique toutes nos recettes et qu’on n’a pas le financement, le français comprendront que c’est impossible ».

Pour le retour à 37,5 annuité maxi, il ne reste que Poutou et Arthaud, Mélenchon proposant de revenir à 40 annuités. Fillon et Cheminade prévoient de nouveaux allongements.

Personne ne parle plus d’un minimum de 75 % des 10 meilleures années ni de prise en compte partielle du temps d’étude,

Dans un autre domaine, personne ne souhaite rétablir la surtaxation des licenciements de seniors.

Lassalle, Dupont, Arthaud, Mélenchon et Poutou veulent développer les remboursement de Sécu. Macron et Fillon veulent en revanche réduire ce que le patronat appelle « les charges ». Ambivalente, Le Pen propose les 2,

Arthaud et Poutou sont pour la prise en charge du risque dépendance, Le Pen dans une moindre mesure.

Seul Macron fait référence au développement des transports collectifs. Des bus ???

Questions ajoutées

La prise en compte du handicap mobilise 6 candidats et Hamon est le seul à proposer d’augmenter l’APA pour les hébergés en EPHAD.

Le Classement

1ère Nathalie ARTHAUD avec 6,667

2e Philippe Poutou avec 5,556

3e Jean-Luc Mélenchon avec 5

4e Hamon et Dupont avec 2,222

6e Le Pen avec 1,667

7e Lassalle et Assoulineau avec 1,111

9e Macron avec 0

10e Cheminade avec -0,556

11e Fillon avec -3,333

Rappel 2007

– 1ère : Marie-George BUFFET avec 8,5/9

– 2ème : Olivier BESANCENOT avec 7,5

– 3ème : Arlette LAGUILLIER avec 6,5

– 4ème : José BOVÉ avec 5

– 5ème : Ségolène ROYAL et Gérard SCHIVARDI avec 3

– 7èmes : François BAYROU et Dominique VOYNET avec 2,5

– 9ème : Frédéric NIHOUS avec 1,5

– 10ème : Nicolas SARKOZY avec 0

– 11ème : Philippe de VILLIERS avec –1

– 12ème et dernier : Jean-Marie LE PEN avec –1,5